manifesti/Critica


ATTI_FUTURISMO_locandina.jpgATTI_FUTURISMO_locandina.jpgATTI_FUTURISMO_locandina.jpgATTI_FUTURISMO_locandina.jpgATTI_FUTURISMO_locandina.jpgATTI_FUTURISMO_locandina.jpgATTI_FUTURISMO_locandina.jpgATTI_FUTURISMO_locandina.jpg

ATTI_FUTURISMO_locandina.jpg

174c.JPGSenza titolo-1.jpgreu.jpg

La traversée du tapis de braises.

Portant le karlon, ces pénitents traversent le “trou de feu”. L’un d’eux arbore, comme pour le kâvadi, des citrons verts suspendus à sa peau par des crochets.

Le mariage d’Arjuna et Draupadî, la veille de la marche sur le feu, est parfois reconstitué sous forme théâtrale. Ici, les deux personnages sont seulement présents à travers leurs statues.

La pratique de la marche sur le feu à la Réunion a, depuis le XIXème siècle, fait couler beaucoup d’encre : celle des curieux avides de spectaculaire, des dénonciateurs à l’affût de diableries et autres tours de sorciers, celle des défenseurs s’insurgeant à raison contre les précédents, ou même celle d’auteurs de brochures touristiques cherchant à attirer le Z’Oreille de passage à grand renfort de clichés caricaturaux et pittoresques… Tout a-t-il été dit ? Peu importe. Essayons ici seulement de voir et de comprendre à grands traits ce qu’est la marche sur le feu.

   Ses origines se trouvent dans la version tamoule du Mahâbhârata  (a): Draupadî (Dolvédé à la Réunion), aussi appelée Pandjalî (Pandialé), née d’un feu sacrificiel devint la femme du héros Arjuna. Un concours de circonstances contraignit celui-ci à partager son épouse – qui avait l’obligation de rester pure – avec ses quatre frères. Pour prouver sa chasteté, Draupadî devait marcher sur le feu à chaque fois qu’elle changeait de mari. Comme derrière tous les épisodes mythologiques se cache et se révèle ici un enseignement profond, sinon plusieurs. C’est ainsi par exemple qu’on considère Draupadî comme une représentation de la force cohésive donnant vie aux cinq éléments composant le corps physique (les cinq frères Pândava) (b).

   Selon une autre interprétation, recueillie sur le terrain, l’idée d’une marche sur le feu effectuée par Draupadî serait erronée. Il y aurait confusion avec la célèbre ordalie de Sîtâ prouvant sa chasteté après son séjour chez son ravisseur Râvana (dans le Râmâyana, sixième livre).

   La marche sur le feu elle-même se situe à la fin d’une période rituelle de dix-huit jours, en principe.

Les marcheurs, sous la houlette du prêtre, vont pendant ce laps de temps se purifier par le carême et l’abstinence, de même qu’ils vont s’imprégner des éléments mythologiques liés à leur acte grâce à des récits, voire des représentations de bal tamoul, effectués tous les soirs au temple. Je passerai sur les diverses cérémonies et pûjâ qui prennent place durant cette période (c), pour insister sur quelques moments marquants des deux derniers jours.

   Tout d’abord la représentation du mariage d’Arjuna (Aldunin à la Réunion) et Draupadî. Les deux personnages peuvent être incarnés par deux “acteurs”, pour une évocation théâtrale populaire au cours de laquelle on retrace ce passage du premier livre du Mahâbhârata. Dans une version quelque peu simplifiée des cérémoniels, on se limite aux épousailles symboliques des deux statues placées dans la balancelle du mariage, célébrées par le prêtre.

   Ensuite le “monte Tavsi”   rappelle un autre moment de la grande épopée : Arjuna part gravir les pentes de la montagne divine, le Kaïlash, pour aller y prier et demander à Shiva son arc aux pouvoirs incomparables (Gândîva). En souvenir de ce passage, un jeune homme vêtu de blanc et jouant le rôle d’Aldunin grimpe à un mât fleuri de plusieurs mètres de haut et, de son sommet où il s’installe, il lance vers la foule des pétales de fleurs que les gens s’empressent de ramasser : ils portent bonheur.

   Le lendemain est en quelque sorte le “grand” jour, celui au cours duquel les pénitents vont à leur tour, comme Pandialé, affronter l’épreuve du feu. Ils manifesteront ainsi à tous, hommes et dieux, qu’ils sont dignes du vÅ“u qu’ils ont formé et de la récompense qu’ils en attendent : guérison de la maladie d’un proche, solution d’un problème personnel ou toute autre faveur divine. Tikouli et palkouli sont soigneusement préparés. Le feu est mis à un bûcher (plusieurs tonnes de bois) qui, plusieurs heures après, sera devenu un vaste tapis de braise et de cendre.

Les marcheurs, le prêtre, et d’autres personnes qui participeront activement à la cérémonie – par exemple en accomplissant le vÅ“u de faire le tour du tikouli en se prosternant – se rendent au bord de la mer ou de la rivière. Ils y procèdent à divers rituels sous les yeux de la divinité dont la statue a été conduite jusque là dans un char. Le prêtre placera notamment un karlon sur la tête de certains pénitents. D’autres préparatifs se poursuivent pendant ce temps à la chapelle.

   Finalement, en début de soirée, la procession fait son retour au temple. On procède à une ultime purification des lieux et des participants, on sacrifie ou non un cabri, selon les convictions en vigueur dans le temple et le prêtre est le premier à montrer la voie, traversant le “trou de feu” d’un pas calme et assuré. Les dieux regardent. Parmi eux on ne manque pas de remarquer une imposante tête rouge : c’est celle d’Alvan, un des fils d’Aldunin dans la version tamoule du Mahâbhârata. Il fit le sacrifice de sa personne, découpant son corps en trente-deux morceaux avant la Grande Bataille, pour assurer la victoire du clan des Pândava sur les Kaurava. Sa tête restée vivante fut témoin de l’affrontement terrible qui eut lieu sur la plaine du Kurukshetra. Pareillement cette tête, symbole du sacrifice de soi-même, jette aujourd’hui son regard sur ceux qui font le don d’eux-mêmes en marchant sur le feu.

   Après son passage, le prêtre bénit chacun des marcheurs qui va traverser le champ de braise. Certains portent le karlon, d’autres leur enfant. On traverse seul ou en petit groupe, mains jointes ou bras écartés, mains toujours lentement, sans montrer ni crainte ni douleur. Si l’on presse le pas, si l’on chute, c’est que l’on n’a pas su se purifier… cela n’arrive qu’exceptionnellement. La traversée se répète encore deux fois, normalement, dans le silence ou au contraire les invocations ferventes de l’assistance.

   On procédera ensuite à divers rituels dans le temple et alors s’achèvera cette suite de journées exceptionnelles d’intensité et de foi

_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg_eco.jpg

SONO ORGOGLIOSO DEL MIO PROFESSORE

Panopticon 1.jpg

PANOPTICON

INDICE DEL LIBRO

STORIA DELL’ARTE, VANITA’  e  LADRI DI GALLINE

DEFINIZIONE DI ARTISTA

DEFINIZIONE DI CRITICO

DEFINIZIONE DI ARTIGIANO

DEFINIZIONE DI GIORNALISTA

DEFINIZIONE DI POLITICO

DEFINIZIONE DI ESTETICA

DEFINIZIONE DI DOCENTE UNIVERSITARIO

DEFINIZIONE DI CRITICO MILITANTE

DEFINIZIONE DI SCRITTORE

DEFINIZIONE DI MOVIMENTO

DEFINIZIONE DI ARTE SACRA

CAMPOBASSO

 TERMOLI

CAMPOMARINO

CASACALENDA

VENAFRO

AGNONE

LARINO

SANTA CROCE DI MAGLIANO

NAPOLI

PESCARA

BOLOGNA

CESENATICO

RIMINI

SAVIGNANO

ROMA

TORINO

SALERNO

AVELLINO

MILANO

ISERNIA

EUROPA

SUD AMERICA

AFRICA

LETTERATURA ARTISTICA

RIVISTE E EDITORI PEREPE’

BIBLIOGRAFIE RAGIONATE

donna nuda.jpg

L’Archivio e Centro Studi Aldo Borgonzoni fondato nel 2007 da Alfonsina e Giambattista

Borgonzoni, con all’attivo oltre 16000 contatti circa 1000 archiviazioni di opere e diverse mostre

istituzionali e in gallerie d’arte,si  è pone l’obbiettivo di  realizzare una grande mostra antologica

nel 2013 , Centenario della nascita del Maestro.

L’Archivio ritiene altresi’ che questa proposta dovrebbe scaturire prioritariamente dalla Citta’

di  Medicina,ovvero dal territorio che  rappresenta ,per  la sua storia rurale e per  le sue

significative testimonianze religiose ,il cuore stesso della poetica  del  Maestro.

La  fama  di Aldo Borgonzoni ,legata particolarmente ai cicli pittorici  dedicati al mondo

contadino  medicinese  e al Concilio Vaticano II ,è di ambito non solo italiano ed

ha interessato  alcuni fra i maggiori  critici d’arte dello scorso secolo, come Francesco Arcangeli,

Ludovico Ragghianti,Carlo Bo ed in particolare i contemporanei Arturo Carlo Quintavalle

e Claudio Spadoni.

Per questa ragione il Centenario non dovrebbe essere definito solo in un ambito locale,

,comunque determinante per la presenza della Pinacoteca A.B, ricca di  un centinaio di straordinari

disegni datati dagli anni’40 in poi donati dal Maestro  e per gli affreschi dipinti nel 1948 nella Casa

del Popolo,ma  dovrebbe  interessare anche Bologna  ,dove egli ha vissuto  fin dagli anni ’30,

quindi le  Istituzioni come il Comune, l’Universita’, il Museo Cardinale  Giacomo Lercaro,

l’Istituto dei Beni Culturali,che gia’diresse il restauro degli affreschi ,la Regione Emilia-

Romagna e da quanti. nel settore  industriale e culturale intenderanno aderirvi.

In particolare per Bologna, citta’ che non ha ancora  realizzato una  antologica istituzionale sul

Maestro,si pensa ad una rassegna dal titolo -1913 -2013 Anteprima  di Aldo Borgonzoni-  da

inaugurare  eventualmente un mese prima della mostra medicinese, come forma  significativa  di

comunicazione per i media italiani.

Questa iniziativa , da svolgersi in contenitori adeguati ,potrebbe riguardare 9-12 opere significative

per il Ciclo del Mondo Contadino ed altrettante per il Ciclo del Concilio Vaticano II, con

allegati documenti fotografici  e carteggi dell’epoca..

Si ricorda che nel 1994 sul tema del Concilio del Maestro si tenne una straordinaria rassegna

nell’Aula Magna di Santa Lucia di Bologna,sotto l’Egida dell’Universita’ di Bologna e della

Fondazione Cardinale Lercaro e con l’Alto Patronato del  Presidente della Repubblica Italiana.

Considerando la sfavorevole e persistente congiuntura economica italiana,  l ‘Archivio A.B. è

consapevole delle difficolta’ , per il reperimento delle risorse  necessarie  ad organizzare

un evento  policentrico dal punto di vista culturale,organizzativo e di comunicazione.

Sarebbe quindi opportuno  definire in primis  gli Enti   aderenti  con funzione propulsiva   per

l’evento , altresi’ un Comitato Scientifico rappresentante il mondo della cultura

e i critici curatori ed infine  il Comitato Organizzativo al quale potrebbero aderire cultori

d’arte e collezionisti che hanno a cuore questa iniziativa.

Quale elemento favorevole possiamo al contrario sottolineare la rilevanza dell’ evento,

che si proporrebbe come riflessione sulla storia   del ‘900  e sulle sue trasformazioni, attraverso la

pittura di uno dei suoi maggiori protagonisti,come ha scritto  nel 2007  il critico e storico

dell’arte Arturo Carlo Quintavalle.

Lo stesso critico dell’arte che  nel 2010  ha inserito un  grande  dipinto  del 1937 di A.B.

nella  mostra parmense – Il secolo lungo- una indagine straordinaria, fra design ,moda e pittura,

sullo scorso secolo.

Quindi  l’Archivio A.B. ritiene che questa Mostra diffusa sul territorio, grazie alla possibile

collaborazione fra   Istituzioni non solo emiliane, grazie al contributo di  critici come Arturo

 Carlo Quintavalle  e Claudio  Spadoni  e agli apporti di  Adriano Baccilieri, Carlo Bugatti, Giorgio  Di Genova,  Nicola Micieli, Marcello Azzolini,Clotilde Paternostro, Marilena Pasquali, Franco Solmi, Franco Patruno,   Antonio Picariello,  Orlando Piraccini,  Ezio Raimondi,Armando Ginesi, Leo Strozzieri , Luigi Tallarico ecct , potrebbe raccogliere finanziamenti non solo  dalle

Istituzioni,ma anche da  Banche, da Industrie  cooperative e non e dal collezionismo privato.

Un evento  è rilevante, se suffragato da  iniziative editoriali di  pregio e dalle recensioni

dei media nazionali ,cio’comporterebbe una complessita’organizzativa ,costi per il trasporto e

l’assicurazione delle opere,come  del resto gia’ avvenne per la Mostra di Riccione del 2009, a  cui

si  aggiungerebbero i costi di  allestimento, quelli per i critici curatori e quant’altro necessario.

Appare chiaro che solo ad una verifica dei finanziamenti  realmente pervenuti,ad esempio a meta’

del 2012, sarebbe possibile  dimensionare la macchina organizzativa  dell’evento sulle

risorse economiche disponibili e quindi sulle scelte dei critici curatori.

Certamente prima di sollecitare finanziamenti  sarebbe necessario  creare attorno alla iniziativa un

adeguato consenso culturale, cercando l’adesione di Istituzioni che gia’ hanno avuto rapporti con

l’Archivio o prima direttamente con il Maestro come la Gam oggi Mambo di Bologna,la

Fondazione Ragghianti di Lucca, la Fondazione Carisbo di Bologna, la Fondazione Cardinale

Lercaro di Bologna, la Fondazione Mazzariol di Venezia,  il Museo Vaticano, l’Universita’di

Bologna,l’Universita’ di Urbino,il Mar di Ravenna, Museo dell’Informazione di Senigallia,il

MuseoRimoldi di Cortina d’Ampezzo ecct  e da varie Pinacoteche dell’Emilia-Romagna,

censite sapientemente dall’Istituto dei Beni Culturali della Regione.

Relativamente alla eventuale  tematica  organizzativa, l’Archivio A.B.  è disponibile a offrire

l’esperienza maturata  in questi anni ,anche  con l’ottenimento  dell’Alto Patronato della

Repubblica Italiana   per  rassegna riccionese , curata nel 2009 dal critico Claudio Spadoni

–Aldo Borgonzoni testimone del tempo-

Qualora si decida di aderire alla proposta , sarebbe utile individuare un  Ente  eventualmente

ONLUS, per la raccolta e il coordinamento  dei finanziamenti pubblici e privati ,in primis quelli

dello stesso Comune di Medicina, determinanti per onorare un

concittadino che ha diffuso  con

l’arte la  storia e l’immagine  dell’ amato territorio,

ARCHIVIO E CENTRO STUDI ALDO BORGONZONI   WWW.ALDOBORGONZONI.COM

beuys stampatore.jpgbeuys stampatore.jpgaddio carinci beuys copia.jpgbeuys stampatore.jpglettera pescar900 per pres visione copia.jpgBEUYS LUCIGI CARINGI .jpg

beuys stampatore.jpglettera pescar900 per pres visione copia.jpgbeuys stampatore.jpgaddio carinci beuys copia.jpg

gasbarrini presidente.jpg

Al Sig. Presidente della Repubblica Italiana

Roma e, p. c,. a varie testate giornalistiche

Oggetto: Lettera (e-mail) aperta di un terremotato aquilano

Caro Presidente, sono un aquilano docg. Tuttora terremotato, come altri 70.000 concittadini. Faccio parte de Il Popolo delle carriole. Partecipo attivamente alle assemblee indette nel Presidio permanente in Piazza Duomo a L’Aquila. Ho atteso con impazienza di sentire-vedere il suo messaggio di fine anno. Mi aspettavo almeno un cenno sulla persistente tragica situazione in cui versa la non-più-mia-fu-città. Tra le innumerevoli pieghe delle sue condivisibili parole, Le rimprovero, democraticamente, di non aver mai pronunciato l’inscindibile trinomio terremoto/macerie/L’Aquila. Mi sono chiesto inutilmente il perché. Gradirei saperlo direttamente da Lei.

Da parte mia La invito a riflettere su un solo dato di fatto. Le decine di migliaia di giovani aquilani (studenti universitari compresi, anche se fuori sede) vivono sulla loro pelle le irrisolte contraddizioni  di una città-capoluogo sempre più somigliante a Pompei. Ebbene. Quei giovani – punta d’iceberg dell’epicentro dell’Italia sfasciata – non avendo più un presente con cui confrontarsi, vogliono riprendere tra le loro mani “l’immediato futuro”. Alla parola d’ordine “Riprendiamoci la città” lanciata a suo tempo a Piazza Duomo, è subentrata, proprio il 31 dicembre, “Riprendiamoci il futuro” (a Piazza Palazzo, recentemente riaperta). Slogan riguardante ovviamente tutti gli aquilani. Anche a costo di essere nuovamente manganellati, fotografati e filmati dalla Digos alla stregua di criminali comuni. Solo per aver abbattuto le grate militarizzate delle zone rosse (di vergogna), aver tolto macerie con le carriole (sequestrate), aver reclamato diritti identici a quelli riservati ad altri cittadini italiani. A proposito di questi ultimi e in materia di restituzione delle tasse a suo tempo sospese, legga con la consueta attenzione il diverso trattamento riservato, nel decreto Milleproroghe, agli alluvionati del Veneto ed ai terremotati del cratere. C’è da restare basiti. Onore, invece, ai trecento pastori sardi, recentemente sequestrati prima e “caricati” poi, dalle cosiddette “forze dell’ordine”. Quegli stessi pastori, all’indomani del sisma del 6 aprile, avevano rinverdito la loro tradizione della “Sa paradura” (la riparazione) donando agli allevatori abruzzesi residenti nel cratere 1.000 pecore. Una sola di esse, vale simbolicamente 1000 volte di più delle “pelose elargizioni last minute” benevolmente concesse dalle dirigistiche, quanto clientelari e propagandistiche ordinanze governative.

Per restituire a Lei, all’Italia, all’Europa e al mondo intero le impareggiabili bellezze paesaggistiche, architettoniche e monumentali dell’attuale città-fantasma dell’Aquila e del suo circondario, l’assemblea dei cittadini ha elaborato un’apposita proposta di legge d’iniziativa popolare. Tra le firme che sta raccogliendo, la Sua è data per acquisita.

Mi farebbe piacere farLe da cicerone in una Sua prossima, auspicabile visita a L’Aquila. Le suggerisco di venire di notte. Avrà così modo di conoscere personalmente tutti i fantasmi e gli spettri danzanti tra le inamovibili rovine (non solo fisiche) di una irriconoscibile non-città in cui, a distanza di circa due anni, continuano a piovere solamente lacrime impastate con polvere.

Grazie per l’attenzione prestatami,

Antonio Gasbarrini (alias Il Naugrafo)

www.angelusnovus.it

L’Aquila – Costa teramana, 2 /1/2011

mani.jpg

muerte yes.jpgmuerte yes.jpgmuerte yes.jpgmuerte yes.jpgmuerte yes.jpgmuerte yes.jpgmuerte yes.jpgmuerte yes.jpgmuerte yes.jpgmuerte yes styll.jpgcr.jpgLucas_Cranach.jpg

Le Musée du Luxembourg rouvre ses portes le 9 février 2011 avec une identité renouvelée et des espaces d’accueil et de services au public entièrement rénovés.  En 2010, le Sénat a délégué la gestion du musée à la Rmn, l’un des premiers organisateurs d’expositions dans le monde. Ensemble, ils auront à cœur de privilégier le développement d’une politique culturelle ambitieuse, au service des publics. L’exposition Cranach et son temps marque la réouverture au public du musée du Luxembourg.
L’exposition – la première en France qui lui est consacrée – présente un artiste majeur de la Renaissance germanique, Lucas Cranach (vers 1472-1553) et fait découvrir ses œuvres d’une élégance raffinée, ses nombreux portraits et ses figures féminines d’une grande sensualité.
Elle permet de comprendre la place de Lucas Cranach dans l’histoire de l’art et son implication dans la société de son temps, touchée alors par de profonds bouleversements politiques et religieux. Une occasion exceptionnelle d’apprécier l’authenticité et l’originalité de ses peintures, dessins et gravures, son travail d’atelier mais aussi les liens étroits qui l’unissaient à ses contemporains européens, et notamment Martin Luther, en Allemagne, en Italie et aux Pays-Bas.
Une exposition organisée par la Rmn, en collaboration avec Bozar qui a conçu et présenté sa première étape au Palais des Beaux-arts de Bruxelles à l’automne 2010.

(altro…)

man_.jpgman_.jpgPILò.jpgPILò.jpgman_.jpgman_.jpgman_.jpgPILò.jpgman_.jpgman_.jpgman_.jpgman_.jpgman_.jpgman_.jpgman_.jpgman_.jpgman_.jpgPILò.jpgman_.jpgman_.jpgman_.jpgman_.jpgman_.jpgman_.jpgman_.jpgPILò.jpgman_.jpgman_.jpgDUE VIL.jpgman_.jpgman_.jpgPILò.jpgman_.jpgPILò.jpgman_.jpgDUE VIL.jpgman_.jpgman_.jpgPILò.jpgman_.jpgman_.jpgPILò.jpgman_.jpg

« Pagina precedentePagina successiva »